Nous sommes de jeunes militants de l'UMP et nous avons décidé de créer ce blog pour protester contre l'invitation de la direction des Jeunes Populaires à se rendre à la marche des fiertés, ex-gaypride. Cet événement, dont on peut douter de la décence, est une occasion pour des minorités visibles de revendiquer le mariage et l'adoption pour les couples homosexuels. Nous pensons que la participation de l'UMP à cette manifestation est contraire à la conception de la famille que nous portons.
D'une manière plus générale, nous nous inquiétons de la dérive gauchisante des Jeunes Populaires depuis l'élection (contestable) de Benjamin Lancar à la présidence.
Dès les premières campagnes des Jeunes UMP, nous avons perçu le tournant "révolutionnaire" du mouvement, comme un véritable renoncement avec les valeurs de la droite que Nicolas Sarkozy incarne de manière courageuse. Il s'agissait de "liquider Mai 68", avec Benjamin Lancar, nous sommes en plein dedans.
Le premier mouvement jeune de droite, tel que le revendique avec raison Benjamin Lancar, incarne-t-il aujourd'hui les valeurs qui motivent nos engagements : les valeurs d'une droite décomplexée et réaliste, qui remet à l'honneur le mérite, le travail et la responsabilité ?
D'une manière plus générale, nous nous inquiétons de la dérive gauchisante des Jeunes Populaires depuis l'élection (contestable) de Benjamin Lancar à la présidence.
Dès les premières campagnes des Jeunes UMP, nous avons perçu le tournant "révolutionnaire" du mouvement, comme un véritable renoncement avec les valeurs de la droite que Nicolas Sarkozy incarne de manière courageuse. Il s'agissait de "liquider Mai 68", avec Benjamin Lancar, nous sommes en plein dedans.
Le premier mouvement jeune de droite, tel que le revendique avec raison Benjamin Lancar, incarne-t-il aujourd'hui les valeurs qui motivent nos engagements : les valeurs d'une droite décomplexée et réaliste, qui remet à l'honneur le mérite, le travail et la responsabilité ?
jeudi 9 juillet 2009
Quand les Jeunes POP rendent hommage...
Les Jeunes Populaires ont lancé il y a quelques jours un hommage navrant de mièvrerie à Michael Jackson. Si le talent de l'artiste et la popularité de ses chansons sont incontestables, Benjamin Lancar et ses amis n'ont décidément pas d'autre ambition que de suivre "le sens du vent". En effet, cet hommage, frise la dévotion, en faisant du "roi de la pop" l'objet d'un culte qui dérange.
On ne compte ainsi plus les litres d'encre, de larmes et de salive déversés à l'occasion de cette inquiétante et pathétique mise en scène destinée avant tout à relancer une industrie du disque moribonde.
Des litres qui ont su redorer le blason d'un artiste discrédité par les accusations de pédophilie à son égard, accusations balayées par 15 millions d'euros versés de sa poche à la famille du plaignant, alors que Michael Jackson laisse à ses propres enfants une dette de plus de 500 millions de dollars.
Ne sommes-nous pas au dessus de ça ? N'y-t-il pas d'autres hommages à rendre à des personnalités incarnant un peu plus notre engagement politique ?
mardi 7 juillet 2009
De l'égalité des chances à l'égalitarisme
Notre famille politique s'est toujours battue pour l'égalité des chances. C'est, pourrait-on dire, un point non négociable de nos programmes électoraux.
Pourtant, depuis l'arrivée de l'équipe Lancar au bureau national du mouvement, un changement de cap se fait de plus en plus précis : de la défense de l'égalité des chances, on passe progressivement à celle d'un « égalitarisme » des plus socialistes. Ainsi, les Jeunes UMP version Lancar renoncent clairement à créer les conditions d'une égalité des chances réelle – la tâche est, il est vrai, assez difficile – pour se faire ambassadeurs d'un égalitarisme forcené.
Pour preuve, Camille Bedin, responsable de la structure UMP Campus et proche conseillère du président des Jeunes Populaires, regrette que « la Halde n'[ait] pas de pouvoirs contraignants ».
Cette déclaration, montrant la volonté des « révolutionnaires » de faire de la très controversée Haute Autorité une police de la pensée, faisait en fait suite aux multiples déclarations en faveur de quotas de personnes « issues de la diversité ».
Dès lors, la même Camille Bedin défend « la création d’une sorte d’inspection générale de la diversité (sic) avec des enquêteurs qui contrôlent ce qu’il en est et infligent s’il le faut des sanctions ». Ainsi, les recruteurs ne choisiraient plus leurs collaborateurs pour leurs compétences, leur volonté d'investissement dans l'entreprise mais parce qu'ils contribueraient au respect d'un « quota » forcément arbitraire.C'est là sans doute une bonne méthode pour éluder les problèmes d'intégration des « personnes issues de la diversité », peut-être pas pour y remédier.
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